L’heure du bilan
Avant de s’immerger dans l’ambiance péruvienne, quelques mots et chiffres clefs de notre expérience équatorienne à vélo :
45 jours de voyage et de découvertes
18 jours de pédalage, avec en moyenne 5 heures de pédalage et 50 km parcouru par jour
Des milliers de buenos dias, buenas tardes
Des centaines de sourires
Des conditions climatiques très variables : soleil, pluie, soleil + pluie, pluie + vent, boue + vent + soleil, vent de face + vent de face.
Le top : 500 mètres avec le vent dans le dos dans une montée
L’étape la plus dure : La montée au pied du Cotopaxi
La plus belle descente : 20 km de dénivelé négatif entre Cuenca et Ona au cœur des Andes
Notre coup de cœur : On vous l’a présenté dans l’article « on a roulé au Paradis ».
125 km en bus.
Ce que nous avons aimé de l’Equateur :
- les soupes monstrueuses et non mixées avec tout plein de bonnes choses (muy rico !)
- les jus de fruits frais 100% avec goût et saveurs sans cesse renouvelés
- l’accueil et la curiosité des habitants
- la diversité des paysages
- les petites camionnettes et la conduite très prudente envers les cyclistes
- les uniformes d’écoliers
- les marchés, toujours plus beaux les uns que les autres
- les petites maisons simples et fonctionnelles
- la rencontre avec les communautés indigènes
- le président Correa, qui met en place une politique pour l’éducation, la santé, la voirie tout cela en indépendance par rapport à l’impérialisme des (soi-disants) Grands Pays de ce monde.
Ce que nous n’avons pas aimé de l’Equateur :
-le mauvais accueil des chiens tout au long de la route
-la notion de la distance et du degré des côtes (par « c’est plat », entendre : « ça grimpe »)
-les larves dans la pâte à crêpes
-quitter l’Equateur après 45 jours de découvertes et de partage